Sebastião Salgado: The silent drama of photography
Sebastião Salgado : Le drame silencieux de la photographie
Sebastião Salgado captures the dignity of the dispossessed through large-scale, long-term projects. Full bio
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par vous montrer juste quelques photos
un petit peu de mon histoire,
n'était pas encore une économie de marché.
de forêt tropicale à plus de 50%.
des animaux incroyables,
avec nos caïmans.
qui vivaient dans cette ferme,
nous le consommions.
qui allait au marché
beaucoup plus grande
à s'organiser et s'industrialiser,
Je suis devenu un peu radical,
pour devenir économiste.
pour toute ma vie,
dans tout ce que j'ai fait jusqu'à maintenant,
contre la dictature,
pour nous tous.
les armes à la main,
Nous étions trop jeunes,
qu'il était mieux pour nous de partir,
pour une banque d'investissement.
financé le développement,
avec la Banque Mondiale.
la photographie a totalement envahi ma vie.
et je suis devenu photographe.
que je suis un photojournaliste,
totalement par la photographie,
juste quelques photos
vous verrez à l'intérieur des projets sociaux
quelques unes maintenant.
de 1994 à 2000,
une histoire appelée Migrations.
C'est devenu une exposition.
principalement au Rwanda.
de continuer à vivre,
par mon propre staphylocoque.
des infections partout.
ce n'était pas du sperme qui sortait de moi,
et a dit : « Sebastien,
tellement de morts que tu en meures.
contre la photographie,
de revenir là où j'étais né.
où mes parents étaient devenus très vieux.
Je suis l'un des seuls hommes de ma famille,
elle était aussi morte que moi.
plus de 50% était de la forêt tropicale.
le développement brésilien,
beaucoup de notre forêt.
à une énorme contradiction :
des milliers de têtes de bétail
une idée folle.
la forêt tropicale qui était ici avant ?
Nous avons commencé à planter et
beaucoup d'arbres, la deuxième déjà moins,
cette terre morte a commencé à renaître.
des centaines de milliers d'arbres,
uniquement des espèces de la région,
un écosystème identique à celui qui avait été détruit,
à revenir de manière incroyable.
Nous l'avons rendue à la nature.
appelée Instituto Terra,
environnemental pour lever des fonds partout.
dans la baie de San Francisco,
des impôts aux États-Unis.
en Italie, beaucoup au Brésil.
de nombreuses compagnies au Brésil
et le gouvernement.
et j'avais un grand souhait :
n'était plus de ne photographier
que j'avais photographié toute ma vie : nous.
mais nous depuis le commencement,
en équilibre avec la nature.
J'ai commencé au début de 2004
une quantité incroyable d'images
Léila a réalisé la maquette de tous mes livres
Elle est la créatrice de toutes mes expositions.
sur ce que nous avons de pur sur la planète
sauvegarder sur cette planète
et avoir un certain équilibre dans nos vies.
nos instruments dans la pierre.
J'étais la semaine dernière
il y a environ 110 groupes
j'espère que nous pourrons créer
une nouvelle présentation de la planète
quelques photos
nous battre ardemment
que nous devons reconstruire ensemble,
nos familles modernes de sociétés,
où nous ne pouvons plus reculer.
une contradiction incroyable.
nous détruisons beaucoup.
cette forêt ancienne
vous avez détruit votre forêt.
que nous avons provoqués de nos mains.
L'Espagne n'a plus d'arbres.
Les seules usines
de capturer le carbone
ce que nous faisons, nous produisons du CO2
-- il y a 3 ou 4 semaines,
qui mourraient en Norvège.
si pour un instant,
pour toutes les espèces animales,
très compliqué pour nous.
les arbres sont essentiels.
que nous comprendrez très facilement.
qui avez des cheveux sur votre tête,
il vous faut
C'est pareil avec les arbres.
de notre planète.
l'eau arrive à la rivière,
détruisant notre source d'eau,
les systèmes de racines retiennent l'eau.
les feuilles qui tombent
pour que l'eau arrive à la rivière
alimente nos rivières.
dans toutes les activités de notre vie.
pour terminer,
de mes parents
l'érosion, la terre desséchée.
de construire un centre éducatif
un grand centre environnemental au Brésil.
de petits points sur cette photo.
nous avons planté un arbre.
faites exactement au même endroit
avec 2 millions d'arbres plantés maintenant.
avec ces arbres.
Nous l'avons fait, n'est-ce pas ?
nous avons construit un écosystème.
les mêmes inquiétudes,
n'importe où dans le monde
nous pouvons le faire ensemble.
ABOUT THE SPEAKER
Sebastião Salgado - PhotojournalistSebastião Salgado captures the dignity of the dispossessed through large-scale, long-term projects.
Why you should listen
A gold miner in Serra Pelada, Brazil; a Siberian Nenet tribe that lives in -35°C temperatures; a Namibian gemsbok antelope. These are just a few of the subjects from Sebastião Salgado’s immense collection of work devoted to the world’s most dispossessed and unknown.
Brazilian-born Salgado, who shoots only using Kodak film, is known for his incredibly long-term projects, which require extensive travel and extreme lifestyle changes. Workers took seven years to complete and contained images of manual laborers from 26 countries, while Migrations took six years in 43 different countries on all seven continents. Most recently Salgado completed Genesis, an ambitious eight-year project that spanned 30 trips to the world’s most pristine territories, land untouched by technology and modern life. Among Salgado’s many travels for Genesis was a two-month hike through Ethiopia, spanning 500 miles with 18 pack donkeys and their riders. In the words of Brett Abbott, a Getty Museum curator, Salgado’s approach can only be described as “epic.”
Sebastião Salgado | Speaker | TED.com